Articles de presse 2013
© Le Télégramme
© Le Télégramme
Conférence-débat « les troubles Dys »
Vendredi 19 avril, 20 h 30, salle du Kérivo, Saint-Jean-Brévelay. Conférence animée par Mme Nguyenkim, orthophoniste et par l'association Apedys 56, association de parents d'enfants dyslexiques
du Morbihan. Cette conférence est organisée par le conseil local FCPE de Saint-Jean Brévelay. Gratuit. Contact : 02 97 64 49 80, fcpe-56@free.fr, 56.fcpe-asso.fr
© Ouest France
Apedys 56. «On reste dyslexique toute sa vie»
13 janvier 2013
On estime entre 8.000 et 13.000 le nombre d'écoliers dyslexiques dans le Morbihan. Rencontre avec les responsables de l'association des parents d'enfants dyslexiques.
© Le Télégramme
L'Apedys 56 vient en aide aux dyslexiques
27 janvier 2013
La dyslexie concerne environ 8 à 10 % des enfants, aussi intelligents que leurs petits copains, normalement scolarisés et sans trouble sensoriel ou psychologique. Toutefois, c'est une vraie
souffrance pour eux. L'association propose des écoutes téléphoniques, des temps de parole et d'échanges chaque mois. Elle organise aussi des conférences avec les professionnels du médical et de
la pédagogie.
Renseignements : tél. 06 48 27 78 96, www.apedys.org ; courriel : apedys-56@laposte.net
© Ouest France
L'Apedys 56 vient en aide aux dyslexiques
Morbihan - 17 Janvier 2013
écouter
Pour pallier ses difficultés d'écriture, Bréval utilise en classe une règle scanner et du matériel informatique.
Dyslexie, dyspraxie, dysphasie ou dysorthographie... autant de troubles qui perturbent l'apprentissage du langage écrit et l'acquisition de son automatisme.
« On en parle de plus en plus, notamment depuis les années 2000 où la dyslexie est devenue une cause de santé publique », souligne Michèle Bertholin, vice-présidente de l'Apedys 56 (Association
des parents d'enfants dyslexiques) dont l'assemblée générale s'est tenue samedi à Lorient.
La dyslexie concerne environ 8 à 10 % des enfants, aussi intelligents que leurs petits copains, normalement scolarisés et sans trouble sensoriel ou psychologique. Toutefois, c'est une vraie
souffrance pour eux.
Élève de seconde bien intégré, Bréval se souvient : « Au collège, c'était l'horreur. Je ne faisais qu'un tiers de la dictée quand les autres avaient terminé. »
L'association propose des écoutes téléphoniques, des temps de parole et d'échanges chaque mois. Elle organise aussi des conférences avec les professionnels du médical et de la pédagogie.
Renseignements : tél. 06 48 27 78 96, www.apedys.org ; courriel : apedys-56@laposte.net